« La Société commerciale de banque Cameroun porte à l’attention du grand public que pour les besoins de démontage des équipements d’une industrie agroalimentaire située dans la ville de Kekem, elle recherche d’urgence un expert en montage d’équipements industriels. Les offres devront être sous enveloppe fermée avec la mention “AR RECRUTEMENT EXPERT”, à déposer au service courrier situé à la direction générale – Bonanjo Douala avant le vendredi 27 novembre 2020 », apprend-on du site internet de SCB Cameroun.
Rien à filtrer sur un tel revirement. Juste un an après l’inauguration en grande pompe de la seule entreprise de transformation de cacao à Kekem, Ouest Cameroun. Une année de fonctionnement au cours de laquelle, Neo Industry a quand même bousculé certains ténors, à l’instar de Chococam. Les performances de Neo Industry affichent, 4 286 tonnes de cacao transformé, juste derrière Sic-cacao, 53 691 tonnes, Chococam, 1 553 tonnes et le dernier du classement fait par l’Office nationale du cacao et du café (ONCC), Ferrero, 717 tonnes.
Les premiers éléments qui pourraient justifier la brouille entre les marocains et Emmanuel Neossi, le président directeur général de Neo Industry pointent 18 mois de factures impayées. Nous y reviendrons.
Aloys Onana
2 comments
Bonjour, juste un constat ! La SCB a financé un projet agro industriel de transformation du cacao. Tres belle initiative qui entre dans l’approche SND30. Fabuleux. Comment comprendre que c’est devenu un “éléphant blanc” qu’il faut demonter ! La mise sur pied du projet et son démantèlement traduisent un échec du dit projet.
Il faut savoir que 90 % de projet ont un taux d’échec au démarrage.
Guy Fridolin Owono Associé Petrotax et Legal
Consultant en management et PPP
Thanks to add my email