Le célèbre investisseur qui s’est fait un nom dans la création des centres universitaires ainsi qu’une radio bien connue à Yaoundé ne veut pas du tout rater le train économique actuel qui a mis son turbo sur l’agro industrie. Aussitôt engagé dans ce nouveau challenge – dont il voile encore un tout petit peu les contours à la presse – le fondateur de l’université Siantou supérieur s’est rapidement mis aux côtés du premier mouvement patronal du Cameroun et en fait désormais partie des membres.
Sa première sortie à Douala le 22 octobre lui a donné l’occasion de s’adresser directement aux chefs des départements ministériels qu’il pourra rencontrer sur le chemin de son nouveau défi. « Je pense qu’il faut que le gouvernement nous aide à définir les atouts économiques des Régions, qu’on sache quelle Région cadre avec quelle culture, telle activité agricole. Et en ce moment-là, même si on emprunte de l’argent ailleurs – à la banque mondiale– pour viabiliser les lieux à ceux qui veulent investir dans ces zones comme nous avons vu en Italie et ailleurs, on crée des centres de formation pour les différents types d’activité qu’on envisage. Les chefs d’entreprise que nous sommes pourrons acquérir des portions de terrain dans ces zones et les développer pour le bien être de notre économie. »
Economie du Cameroun