L’ex-cadre à la Commission des Droits de l’homme du Cameroun (CDHC) ne se lasse pas d’essayer de mobiliser les médias nationaux et internationaux pour venir écouter les insanités sans fondement qu’elle déverse sur le Pr James Mouangue Kobila, président de la CDHC. Malgré les échecs répétés ici et là, elle s’entête à vouloir couvrir de boue l’homme à qui elle a fait des déclarations d’amour enflammées et ornées de cœurs rouges.
C’est ainsi qu’à l’audience du 4 juin 2024 au Tribunal de grande instance de Yaoundé, Centre administratif, ses avocats ont vainement plaidé pour que le juge repousse la demande de huis-clos soumise par les conseils du président de la CDHC, en vue de protéger la dignité de leur client, conformément aux prescriptions du Code de procédure pénale, chaque fois qu’il s’agit d’une affaire de mœurs.
En clair, les soutiens de Mme Tsemo qui confirment leur réputation de juristes du dimanche, lui ont conseillé de faire le maximum de publicité autour des audiences du procès qu’elle a déclenché, dans le but d’altérer l’honneur et la respectabilité de l’éminent universitaire, réputé très intègre.
Mal leur a pris, car accusations relatives à une affaire d’allégations d’atteinte aux bonnes mœurs et publicité des débats ne font pas bon ménage. C’est donc sans surprise que le tribunal a fait droit à la demande des conseils du président de la CDHC en décidant du huis clos dans cette affaire après la brillante plaidoirie de Me Wandou, l’avocat de l’agrégé de Droit public.
Ce nouvel échec qui pulvérise les plans de la demanderesse constitue un échec stratégique majeur. Mais amènera-t-il l’ange déchu de la CDHC, Mme Tsemo à repentance ? Il y a lieu d’en douter car on sait que le chef bandit n’abandonne jamais.
L’affaire est renvoyée au 6 août 2024 pour ouverture des débats. À cette occasion l’épouse du pasteur Tsemo devra démontrer au Tribunal comment un homme à qui elle a fait de multiples déclarations d’amour, au point de dire que même son époux ne peut l’empêcher d’être amoureuse de l’élégant président Sawa, peut l’avoir harcelée sexuellement, alors même que ce dernier lui a écrit noir sur blanc qu’il n’est pas intéressé par des relations sexuelles avec elle.
EDC