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Opinion : la ‘harcèlosphère’ contre Amougou Belinga

by EDC
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Comme chacun le sait peut-être, en occident, ce sont toujours ou généralement les intégristes catholiques ou de l’Ultra-droite catholique, ou les membres de l’Extrême droite, ou des sectes Nazi, qui sont accusés d’être derrière les mauvais coups—complots, tentatives d’attentats, pillage des banques, dérèglementation du système de santé, déstructuration de la cellule familiale…désordre mondial. Le Cameroun a aussi son ‘mouton noir’—le milliardaire homme d’affaires et magna des media, Jean-Pierre Amougou Belinga [photo], sur qui la ‘harcèlosphère’ s’acharne sans ménagement.

Mécanique de la traque

Le harcèlement qui s’abat sur Amougou Belinga, patron du ‘Groupe l’Anecdote,’ est un cumul de toutes les dérives—‘Fraudes journalistiques.’ ‘Fraudes morales.’ ‘Fraudes sociales.’ ‘Fraudes éthiques.’ ‘Fraudes déontologiques.’ ‘Fraudes intellectuelles.’

Le ‘plan commun’ élaboré à travers ces ‘fraudes’ pour l’abattre est conçu et méthodiquement organisé dans des officines obscures, avec une cagnotte conséquente. Une analyse du contenu des écrits, vidéos, et audios, des chiens lâchés à ses trousses permet d’identifier une coordination éventuelle de leurs agissements. Les ‘activistes(?)’ et ‘lanceurs d’alerte(?)’ en chef d’orchestre distillent les éléments de haine retenus contre lui, sur les réseaux sociaux. Cette propagande est ensuite reprise par les media périphériques et/ou tribalistes. Chacun à partir de son support mène une cabale agrémentée de grossièreté sans nom. Mêlant immaturité intellectuelle et morale, insultes grinçantes et parfois très choquante, en lui souhaitant tout le malheur du monde. Les limites de l’acceptable sont quelque fois franchies et les menaces d’atteinte à son ‘Empire,’ voire à sa personne sont prononcées dans une vulgarité déconcertante. 

Ce comportement de milicien-nazi vise à le discréditer, le noircir, l’isoler, et le poursuivre juridiquement. Ainsi, ils appellent au peloton d’exécution de la justice sans autre forme de procès pour le voir murer. Juristes experts ou pas, ils postent des articles de loi soutenus d’analyses menaçantes. Il n’est donc pas étonnant que devant une telle avalanche d’actions, ils aient besoin d’un fonds spécial—cinq millions (FCFA 5 000 000) mensuel c’est le moins que l’on puisse payer à ces chômeurs endurcis, aux intellectuels (?) en déclin, aux journalistes et animateurs sans brillance, qui se sont reconvertis en ‘cybercriminels-harceleurs,’ grâce aux facilités de la communication virtuelle. Certains parmi ceux qui auraient perçu un minimum de FCFA6 000 000 chaque deux semaines ont fini par livrer leur corps aux asticots.

Obsession pathologique

Ces charançons des valeurs sûres, atteints d’une névrose obsessionnelle à l’égard de l’un des plus grands hommes d’affaire du Cameroun, ont un but—abattre absolument ce businessman qui a des tentacules politiques internationales très longues et pouvant faire ombrage à certains prétendants au ‘trône.’  Si non, rien n’explique que ce créateur multisectoriel d’emplois (media, assurance, finance, immobilier, éducation, et autres), auteur d’un nombre impressionnant et diversifié d’entreprises dont le Cameroun aurait dû être fier et s’enorgueillir, soit pris depuis plusieurs années, avec une obsession quasiment pathologique, dans l’engrenage de la machine à broyer d’une cohorte d’individus animés de sentiments lugubres.

Les chasseurs de prime recrutés pour la salle besogne, passent le clair de leur temps, à analyser ses moindres sorties publiques à la recherche d’erreurs pour l’assommer. Ils consomment leurs journées à fouiller le moindre indice de ‘fraude économique’ pour le crucifier. Un petit groupe d’extrémistes soutenu par un petit noyau de ceux qui n’ont pas pu lui extorquer de l’argent, constituent la figure emblématique et incontestée de l’insulte et du harcèlement anti-Amougou. La constance de leur volume de haine est leur identité remarquable. Sans hésitation, ils relèguent tout avis dissident au rang d’‘antipatriote,’ d’‘antinationaliste,’ voire de ‘complotiste,’ travaillant en concubinage incestueux avec un système politique criminel, aux abois, en phase terminale de vie, pour piller et déstructurer le pays.

Actions juridiques en responsabilité

Devant une telle débauche de violence et d’outrage, cet homme d’affaires qui a une ‘bien-belle-sale-gueule’ quand il doit se défendre n’a presque jamais ou jamais demandé une enquête sur les attaques incessantes virant à l’obsession et au harcèlement envers sa personne. Il est toujours resté au-dessus de la mêlée. Cultivant la réplique du calme. Un silence qui pourrait devenir un ouragan lorsque la tempête tombera. Puisqu’il pourrait prendre des mesures nécessaires pour défendre sa probité et la réputation de son ‘Empire.’

S’il le fait, il portera l’affaire devant la justice. Des actions juridiques en responsabilité pourraient être engagées. Dans ce cas, il ne faudrait pas que les larmes coulent. Puisque, l’Article 78-1 de la loi camerounaise avertit la ‘crasse’ des media traditionnels et ‘artificiels.’ Il édite. ‘Est puni d’un emprisonnement de six (6) mois à deux (2) ans et d’une amande de cinq millions (5 000 000) à dix millions (10 000 000) FCFA ou de l’une de ces deux peines seulement, celui qui propage par voie de communications électroniques ou d’un système d’information, une nouvelle sans pouvoir en rapporter la preuve de sa véracité ou justifier qu’il avait de bonnes raisons de croire à la vérité de ladite nouvelle.’ L’alinéa 2 de cet Article va plus loin. Il stipule que ‘les peines prévues à l’alinéa 1 ci-dessus sont doublées lorsque l’infraction est commise dans le but de porter atteinte à la paix publique.’  

Mécanisme de ‘veille’

En prélude à cette éventualité, Amougou Belinga aurait mis en marche un mécanisme pour coincer ses détracteurs. Certaines sources indiquent que le numéro de téléphone indexé aux comptes WhatsApp, Facebook, et Messenger, qui créent, partagent, un message contenant la chaîne de caractères #Jean Pierre Amougou Belinga#, ses dérivées ou photos, sera enregistré puis traité en fonction de l’article 78 ci-dessus. Ses avocats pourraient si c’est nécessaire, saisir la justice pour faire appliquer la sanction.’

Ce mécanisme de ‘veille’ aurait été mis sur pied par des ingénieurs indiens. Amougou Belinga qui est resté indifférent aux violences verbales et aux écrits vulgaires à son égard, voudrait peut-être donner à la police et aux enquêteurs des éléments pour leur travail. Ceci afin que les ‘aboyeurs’ anti-Belinga, ne crient au complot dans le confort de l’entre-soi, et que l’opinion enfin, sort de la boucle sans fin des accusations contre sa personne.

Feumba Samen, Abidjan

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