L’homme politique, chantre de la lutte anti-corruption pense qu’il ne faut que le port autonome de Douala (PAD) et le port autonome…
PAD
-
-
A la uneEntreprises
Gestion publique : le port autonome de Douala choisit la Sonara pour sécuriser les recettes de ses produits pétroliers
by EDCby EDCMalgré cela, le port autonome de Douala (PAD) n’écarte pas des mesures coercitives pour rentrer en possession de ses fonds. C’est une…
0Shares -
A la unebon à savoir
Bon management : la très sérieuse agence de notation financière Bloomfield Investment Corporation note le port autonome de Douala et assure qu’il est un bon risque pour les investisseurs
by EDCby EDCBloomfield Investment Corporation a procédé à la première notation financière de Port Autonome de Douala et lui attribue la note A (note…
0Shares -
A la unebon à savoir
Gestion publique : ce que la cotation en bourse va apporter aux entreprises PAD, Sodecoton, CHC, ADC
by EDCby EDCLe 8 septembre 2022, le ministre des Finances (Minfi) a, dans un courrier, indiqué au patron de la Bourse des valeurs mobilières de…
0Shares -
A la uneEntreprises
Partenariat : le PAD et l’ANOR signent un accord de cinq ans pour un maximum de normes à la place portuaire de Douala
by EDCby EDCLa détermination du Port autonome de Douala (PAD) à être compétitif n’est plus à démontrer. Celle-ci s’étend désormais au renforcement des normes…
0Shares -
A la unebon à savoirEntreprises
Transport maritime : ayant perdu l’avantage tarifaire que lui octroyait ses anciens alliés, le français CMA-CGM quitte le port de Douala
by EDCby EDCDans sa livraison du 1er avril 2021, Jeune Afrique Business Plus annonce la suppression dès le 11 avril 2021, de la double…
0Shares -
A la unebon à savoir
PAD : 10,4 milliards de FCFA, montant moyen dépensé chaque année pour le dragage
by EDCby EDCCe matin du 13 octobre 2020, le Premier ministre (PM) chef du gouvernement Joseph Dion Ngute inaugure les nouveaux engins acquis par…
0Shares -
Sur le papier, le port autonome de Douala (PAD) s’étend sur 50 km en moyenne. Un espace qui a été dédié à cette grande porte de l’économie locale – 95% des marchandises à l’import comme à l’export passent par ici- pour permettre au pays de rester en contact direct avec le business du monde. Seulement, une partie de cet espace est occupé par les infrastructures portuaires, le reste du terrain attend des constructions immobilières et routières du PAD. Un bel espace qui séduit certains habitants de la capitale économique qui s’y installent en désordre. « Plus de 3000 occupants irréguliers occupent le domaine portuaire, pourtant le domaine portuaire est impropre à l’habitat. Il faut les déloger car la cohabitation peut donner lieu à la cohabitension », ironise Sylvestre Mezation, chef division de la facturation au PAD. Cette préoccupation est sur la table du top management du PAD, qui attend le moment pour déloger tous ceux-là qui ont élu domicile sur son terrain.
Seulement, le PAD n’a pas pour seul problème l’occupation anarchique de son domaine terrien. Sur la plateforme portuaire, ce n’est pas encore le calme total, de nombreuses actions s’imposent tous les jours. C’est le cas des endroits de stockage. « Les magasins sont dans un état de vétusté avancé. Toutes les études faites jusqu’ici disent qu’il faut les raser pour reconstruire d’autres ». En réalité, inauguré en 1980, le PAD se distingue par sa capacité annuelle de 15 millions de tonnes, 26 quais d’accostage sur 5,5 km de long, une superficie de 400 ha, 7 terminaux spécialisés, 15 entrepôts, 65 ha de terre-pleins et 25 km de voies ferrées. Des données qui s’amenuisent au fil du temps au regard de la sollicitation –le PAD sert de passage aux pays de l’hinterland à l’instar du Tchad et de la RCA.
Le top management du PAD ébauche des solutions. 200 hectares sont déjà réservés aux activités logistiques à la sortie ouest de Douala et 700 hectares à la sortie Est, des zones qui viendront donner un nouveau et profond coup de pousse à la décongestion du PAD. Selon des experts en réunion à Douala autour des acteurs majeurs des ports du Cameroun, les ports locaux devraient se rapprocher de leur clientèle, éviter la congestion autant que possible car cela pourrait décourager les pays comme la RCA et le Tchad de plus en plus tentés d’aller voir ailleurs, être plus attractif en offrant des services plus accélérés, réduire les délais de passage. « Toutes ces données mises en application peuvent donner un coup d’accélérateur à l’économie. 25 % des améliorations portuaires peuvent apporter 2 points de croissance », analyse Michael Bama, du port autonome de Kribi (PAK).0Shares